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  • Obtenir un ebook gratuit La Maison des feuilles

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    La Maison des feuilles

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    La Maison des feuilles

    Détails sur le produit

    Poche: 752 pages

    Editeur : Points (12 février 2015)

    Collection : Signatures

    Langue : Français

    ISBN-10: 2757849107

    ISBN-13: 978-2757849101

    Dimensions du produit:

    13,1 x 3,7 x 18,6 cm

    Moyenne des commentaires client :

    4.0 étoiles sur 5

    28 commentaires client

    Classement des meilleures ventes d'Amazon:

    20.231 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

    Les avis m'avaient donné l'eau à la bouche, habituelle fan de ce genre de concept.. je n'ai pas accrochée et en laissé tomber la lecture avant la fin (c'est vraiment rare)L’histoire peut être intéressante, j'aurais aimé e connaitre la fin mais je n'ai pas réussi à m'immerger dans ce monde malheureusement... une autre fois peut être?

    La maison des feuilles, aujourd'hui, est peut-être le meilleur livre que j'ai pu lire. Bien que ce livre / objet / truc / labyrinthe soit assez difficile à lire (déchiffrer?), je me suis laissé emporter dans l'ambiance de cette maison... Est-ce que j'y suis encore!?

    J'ai adoré ce livre, histoire très originale. Deux histoires parallèles totalement différentes (la principale et notes en bas de page)

    Excellent roman oscillant entre fantastique et humour, au style d'un réalisme apte à semer le doute et la confusion chez tout lecteur normalement constitué. Demande une certaine souplesse mentale et physique.

    J'ai adoré ce roman, cette façon d'écrire, l'histoire, la mise en place des paragraphes originales, je le conseille fortement pour ceux qui aiment l'originalité

    A la fois dépaysant (je n'ai jamais lu quelque chose de tel) et captivant. Mais il faut quand même assumer de lire un bon gros pavé écrit en petits caractères et infesté de notes sans sourciller. Bref mon avis : un livre à lire absolument mais en plusieurs fois pour ne pas être écoeuré dès les 100 premières pages.

    Parfait

    Aborder un livre comme La Maison des Feuilles n’a rien de simple. C’est même tout le contraire. Considéré par beaucoup comme un petit monument du roman moderne et notamment horrifique/fantastique, le livre de l’américain s’est d’ailleurs vu réédité en France récemment. Enorme livre de près de 750 pages, écrit en tout petit parfois, il présente la singulière particularité de bénéficier d’une forme originale. Au-delà de son histoire, Danielewski voulait retranscrire la folie/la désorientation de ses protagonistes pour le lecteur en manipulant la forme de son texte. Ainsi, en feuilletant rapidement la chose, on trouve des textes en spirale, des pages avec un seul mot ou en escalier, une police minuscule ou des mots barrés, bref voici de quoi être intrigué.Tout commence en fait par la découverte d’un journal. En fait, au lieu de journal, le jeune Johnny Errand1 découvre une œuvre critique exhaustif d’un vieil homme nommé Zampano, mort seul dans son appartement. Le sujet de cette critique filmique, le long-métrage The Navidson Record du célèbre reporter Will Navidson. Retiré depuis un certain temps, il décide de refonder son mariage pour le moins fragilisé en allant s’installer dans une belle maison à l’écart avec sa femme et ses deux enfants. Bien que les choses se passent bien dans un premier temps, un drôle de phénomène a lieu lorsque Will s’aperçoit que la dimension intérieure du mur de sa chambre s’avère plus grande que sa dimension extérieure. Malgré l’appel à la rescousse de son frère, le mystère reste entier. Mineur en apparence, l’incident n’a rien d’anodin puisque bientôt, une porte apparait dans le salon des Navidson. Avec l’aide d’Holloway, un ami explorateur, Navidson tente d’explorer le long couloir noir qui prolonge cette porte inconnue. Armé de sa caméra et de son courage, le groupe va pénétrer dans les ténèbres insondables de la Maison.Une des grandes caractéristiques de cette Maison des Feuilles, c’est que tout du long, le lecteur va osciller entre diverses émotions contraires : La folie, l’obsession, la peur, l’agacement, le ras-le-bol et l’émotion.Thème majeur de ce roman, la folie prend diverses formes. D’abord, la plus insidieuse, celle de Johnny. Ensuite, celle, moins évidente de Navidson et de son équipe. A l’exception d’Holloway qui y sombre quasi-totalement et non sans raison, tout le long des diverses expéditions menés dans les ténèbres de la Maison, Will ne peut éviter d’être contaminé et de contaminé le lecteur. Rapidement Danielewski distille le doute : quelle est la nature de ces nouveaux espaces ? Et ces bruits, ces grognements lointains, que sont-ils ? Hallucination collective ou véritable phénomène inexplicable. De même, Zampano annote constamment son œuvre critique et les notes de bas-de-pages abondent, parfois allant jusqu’à s’étaler sur des dizaines de pages (!!), si bien que le lecteur perd le sens souvent, et comme les héros du récit (ou plus exactement anti-héros), ne sait plus où il est et ce qu’il cherche. Directement intriqué à cela, survient l’obsession, quasi-maladive que va susciter le récit. En prenant bien soin de constamment disséminer des indices quant à la nature de la Maison, et d’annoncer d’affreuses choses, Zampano (ou est-ce Danielewski ?) tient plus qu’en haleine, il force à continuer encore et encore, même dans les instants les plus pénibles. Cette obsession du lecteur ne fait d’ailleurs que refléter l’entêtement de Navidson vis-à -vis de la Maison. Un acharnement maladif qui le conduit rapidement dans l’horreur.Pourtant, la Maison des Feuilles est aussi un livre pénible. En prenant au pied de la lettre son postulat d’œuvre critique, le récit de Danielewski donne à l’œuvre de Zampano non seulement un côté labyrinthique mais aussi de grands moments de n’importe quoi. Certains chapitres traitent de notions totalement abscondes et sont aussi trépidantes à lire qu’un manuel d’utilisation de machine-outil. Certains trouveront d’ailleurs plus pratique de les zapper, et, soyons clairs, c’est tout à fait possible de lire ces passages en diagonales pour aller à l’intéressant –Ne serait-ce pas d’ailleurs le but ? – Tout comme la portée de la Maison s’affirme impénétrable au lecteur, le texte adopte la même signification hermétique. Constamment Danielewski joue avec cet hermétisme et pousse son texte dans ses retranchements. Après tout, le journal de Zampano n’est-il pas une critique voir une exégèse de l’œuvre de Navidson, avec tout le côté chiant que cela implique ?2L’autre très grande dominante du récit reste la peur. Avec un grand P, la terreur même. La Maison cache donc des espaces inexplorés en son sein. Mais pas un ou deux couloirs, non très loin de là … Un Hall grand comme une montagne, un escalier qui n’en finit pas… et toujours les ténèbres, les vrais ténèbres, pas une seule once de lumière ou de couleur. Une sorte de labyrinthe hallucinant où se terre peut-être la Minotaure, à moins que ce soit l’homme qui y entre qui le soit ? Peu importe puisque La Maison des Feuilles s’affirme envers et contre-tout comme un objet terrifiant. Pris dans les explorations de Navidson, le lecteur est tout aussi prisonnier que lui. Oppressant et claustrophobe, lorsque Danielewski fait progresser ses protagonistes, soyez certain que vous allez plonger avec eux. Un très grand moment de trouille3 qui ne doit rien à quelconque monstre…enfin quoique.Car le roman lui-même, image quasi-littéraire de la Maison, fait figure de monstre. Malgré le ras-le-bol envers tout le verbiage de Zampano et ses théories et ses centaines de notes et de références à d’obscurs ouvrages, malgré l’agacement, il y a une monstruosité du récit fascinante caché dans l’œuvre de Navidson. Plus qu’un simple récit d’horreur, c’est aussi un récit à hauteur d’homme et de son parcours journalistique, son influence sur sa vie et au final sur sa famille. Parfois La Maison des feuilles devient un vrai feuilleton sentimental avant de devenir une confession. La densité de l’œuvre fait peur et tient mal en une seule critique. Cette notion de critique, postulat de départ de l’américain qui se livre avec le journal de Zampano à une vraie dérision de l’hyper-critique et ses limites, perceptibles du début à la fin.Mais plus loin que tout cela, Danielewski refuse de ne se servir que des mots et joue à fond sur la forme. La Maison des feuilles adopte la même disposition de lieu et/ou d’esprit que ses protagonistes. Lorsque Navidson se perd et tourne dans une myriade de pièce, le texte s’en retrouve sans dessus-dessous et cela sur des pages entières, y perdant par la même occasion le lecteur. Le temps s’allonge ? Alors les phrases occupent des pages entières. Holloway se trouve en haut et Will en bas, la partie du texte concernant Holloway se retrouve en haut et celle de Will en bas. Vous l’aurez compris non seulement le style de Navidson enserre le lecteur, mais la forme de son texte le ferre définitivement, passant ainsi dans un nouveau registre d’interactivité et d’aboutissement. Tout le côté expérimentale de la chose n’enlève pourtant rien à sa réussite, d’autant plus impressionnante que le sujet en est fort ardu.Même si l’on pourrait reprocher parfois une certaine froideur au texte, ce serait faire abstraction de toute l’émotion qui transparaît entre les lignes4 lorsque Danielewski parle des relations familiales de Will et, notamment avec son frère et avec sa femme. Mais ce n’est pas tout puisqu’à travers La Maison des feuilles, c’est aussi de Zampano lui-même, ce vieil homme pour le moins obscure, que l’on parle. Si on saura peu de choses de lui, son ombre s’étend sur tout le récit, si bien qu’il en devient d’une importance grandissante, et pas que par son analyse du Navidson Record.Difficile de dire ou s’arrête La Maison des feuilles, entre les multiples niveaux de lectures, les innombrables notes de bas de pages et les appendices quasiment plus intrigants que le corpus principal, bien malin qui saura dire où s’interrompt vraiment l’aventure. Certainement pas Johnny. Foisonnant, dense jusqu’à l’apoplexie et en un mot comme en cent, monumental, L’œuvre de Danielewski, son premier roman (!!!) au passage, peut se targuer d’aller directement s’inscrire dans les chefs d’œuvres du genre…mais quel genre ? Dison de la littérature moderne.1 Pour bien comprendre la profondeur et l’intertextualité de La Maison des Feuilles, il faut comprendre que le fil concernant Zampano n’est que la partie émergée de l’iceberg. L’autre versant du roman, c’est l’histoire de Johnny Errand, un pauvre bougre qui trouve le manuscrit de Zampano. Rapidement, au cœur de la critique du vieux, Johnny commence à nous parler de lui, de sa vie, de son passé et de ses peurs. Tout comme Will s’enfonce au cœur de la folie dans les ténèbres de la Maison, Johnny s’effondre mentalement en suivant à la fois le cours de l’histoire mais aussi en tentant de reconstituer le vécu de Zampano. Danielewski glisse une histoire dans l’histoire et narre, de façon entrelacé l’existence d’un asocial dont la mère hante chaque jour ses pas.En jonglant sur divers tableaux, il s’avère difficile de faire la part des choses entre la décompensation psychique de Johnny et un vrai phénomène paranormal, une sorte de malédiction pesant sur le Navidson Record et qui broie tout ce qu’il touche. Plus le récit avance et plus Johnny s’enfonce et lâche prise, en lisant d’ailleurs les lettres de sa mère (dans les appendices ii) on comprend vite pourquoi. Celle-ci rassemble en une quarantaine de pages le génie de Danielewski pour la correspondance entre le fond et la forme, allant jusqu’à produire des messages codés…eux-mêmes codés. Tout s’imbrique dans La Maison des feuilles comme dans une poupée russe folle. A bien des égards, le récit d’Errand constitue un roman à part entière faisant la part belle à la psychologie et aux traumatismes enfantins. En sus de toutes les compensations excentriques sexuelles qui la parsème…2 Car une critique aussi extrême que celle de Zampano, même si elle confine au caricatural, mène forcément souvent à l’ennui. D’ailleurs cette LONGUE critique ne vous ennuie-t-elle pas ? iii3 Ce n’est pas Stephen King qui dira le contraire puisqu’il parle même du Navidson Record dans la Maison des Feuilles. Si, un tel maître de l’horreur fait un caméo dans le livre, on peut avoir foi dans le quota de frissons qu’il promet.4 Comme cette comparaison constante avec Le Minotaure, bien plus importante qu’il n’y parait et très révélateur sur la nature de ce Labyrinthe. Ou encore de la constante obsession sur la vie de la femme de Navidson, Karen Green, immense chant d’amour tragique avec de vrais morceaux de regrets dedans.ii Assez énormes pour tout dire, entre les photos intrigantes, les poèmes mystérieux, les pièces rapportées et aussi l’histoire de Palafina, la mère de Johnny, récit poignant d’une folle pourtant terriblement humaine.iii Mais si vous avez été au bout, au final, ça ne valait pas vraiment le coup ?! Alors, allez-y, pénétrez dans la Maison. Si vous avez la persévérance et l’entêtement nécessaire, vous n’allez pas rater ça.

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